Le corps humain peut pâtir de nombreux changements, et néanmoins maintenir les impressions ou traces des objets (E2p5), et par conséquent les mêmes images des choses (voir leur définition en E2p17s).
Corpus humanum multas pati potest mutationes et nihilominus retinere objectorum impressiones seu vestigia (de quibus vide postulatum 5 partis II) et consequenter easdem rerum imagines; quarum definitionem vide in scholio propositionis 17 partis II.
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